Andrea Chenier
2010
D'un lyrisme emporté, torrentiel, la musique de Giordano fait s'enflammer un hymne à la fraternité, à l'amour et à la mort libératrice.
Czas trwania:125 min
Kategoria wiekowa:
Gatunek:Muzyka/Opera
Obsada i Twórcy
Marcelo Alvarez
jako Andrea Chénier
Sergey Murzaev
jako Carlo Gérard
Micaela Carosi
jako Maddalena di Coigny
Francesca Franci
jako La Mulatta Bersi
Stefania Toczyska
jako La Contessa di Coigny
Marie José Montiel
jako Madelon
Umberto Giordano
Muzyka
Opis programu
Andrea Chénier, d'Umberto Giordano Daniel Oren (direction) Giancarlo Del Monaco (Metteur en scène) Carlo Centolavigna (Décors) Maria Filippi (Costumes) Wolfgang Von Zoubek (Lumières) Patrick Marie Aubert (Chef de choeur) Marcelo Alvarez (Andrea Chénier), Sergey Murzaev (Carlo Gérard), Micaela Carosi (Maddalena di Coigny), Varduhi Abrahamyan (La Mulatta Bersi), Stefania Toczyska (La Contessa di Coigny) Maria José Montiel (Madelon) Enregistré à l'Opéra-Bastille, Paris D'un lyrisme emporté, torrentiel, la musique de Giordano fait s'enflammer un hymne à la fraternité, à l'amour et à la mort libératrice. Marcelo Alvarez revient à l'Opéra de Paris dans un des plus beaux rôles de ténor du répertoire. S'il y eut une révolution vériste, ce fut d'abord une révolution théâtrale et même littéraire. Et c'est donc d'Italie que nous vient ce portrait vibrant du grand poète français mort en 1794 pour la liberté. Enfant du Sud, Umberto Giorgano fut remarqué lors du concours qui imposa Mascagni et son Cavalleria rusticana. Une nouvelle ère de l'Opéra était née. L'exaltation des sentiments, la passion s'exprimant par la voix et les mots, rien n'est longtemps possible sans des personnages et des situations fortes. Andrea Chénier en est un brillant exemple : à la fois fresque historique, d'une justesse et d'une concision admirables, et drame humain, d'une intensité bouleversante. Deux amants pris dans les rouages de l'histoire et que fait plier la force du destin... La parole d'un poète qui s'élève par delà le tumulte et que la guillotine fixe dans son éternelle jeunesse. D'un lyrisme emporté, torrentiel, la musique de Giordano fait s'enflammer un hymne à la fraternité, à l'amour et à la mort libératrice.